EMUAGE • Pollution des océans

80% DU PLASTIQUE DANS L’OCÉAN provient de sources terrestres.
Source : Dalberg analysis, Jambeck & al (2017)
Et toujours selon WWF, seuls 9 % des déchets plastiques ont été recyclés dans le monde.
Or, ces plastiques non biodégradables, se fragmentent en microplastiques invisibles à l’oeil nu.
Les particules se diffusent et polluent l’oéan. 
Une pollution qui a un impact nocif sur les organismes marins : cela met en danger
la biodiversité, les poissons, les mammifères marins
et les oiseaux. Selon l’INRAE, on retrouve une grande variété de microplastiques dont leur ingestion
chronique perturbe la croissance et la reproduction
des poissons. Au-delà, ces microplastiques ingérés par le biote marins (coraux, poissons etc…)
peuvent remonter dans la chaîne alimentaire ce qui constitue également
un danger pour l’humain, puisque nous consommons du poisson. Dans un autre rapport de WWF,
il était soulevé qu’en moyenne
une personne pourrait ingérer environ 5 grammes de plastique par semaine.
L’équivalent d’une carte de crédit.

75% DE L’ENSEMBLE DU PLASTIQUE DÉJÀ PRODUIT est
aujourd’hui un déchet.
Source : Dalberg analysis, Jambeck & al (2017)

⅓ DES DÉCHETS PLASTIQUES (100 MILLIONS DE TONNES) entrent dans
la nature et polluent les terres, rivières et océans chaque année.
Source : Dalberg analysis, Jambeck & al (2017)

La production de plastique vierge a été multipliée par 200 depuis 1950 et
augmenté de 4% par an depuis 2000.
EN 2016, LA PRODUCTION A ATTEINT 396 MILLIONS DE TONNES.
Cela équivaut à 53 kg de plastique
pour chaque habitant de la planète.
Source : Dalberg analysis, Jambeck & al (2017)

Les efforts actuels pour améliorer la capacité de gestion des déchets sur
la planète ne sont pas suffisants pour mettre fin à une fuite de plastique estimée
entre 90 et 105 millions de tonnes chaque année d’ici 2030.
 
LA PRODUCTION DE PLASTIQUE POURRAIT AUGMENTER DE 40 %
D’ICI 2030
Source : Dalberg analysis, Jambeck & al (2017)

EMUAGE désire lutter contre la marée de plastiques qui asphyxie les océans.
Comment ? En collaborant avec l’entreprise OCEAN WASTE PLASTIC,
EMUAGE repêche depuis 2020,
les déchets plastiques dans les océans et sur les côtes, en Asie notamment,
zone la plus polluée au monde,
pour leur redonner une seconde vie au travers des capsules EMUAGE.
AU TOTAL :
🔵Déjà plus de 5 tonnes de plastique repêché
 (3 tonnes de PE, 2 tonnes de PP).
🔵11 000 capsules en plastique recyclé et recyclable produites dans le laboratoire
EMUAGE en France à la Seyne-sur-mer (83) en avril 2023.
🔵Les capsules sont dépourvues de coloration afin qu’elles
soient 100% recyclables.

 

Son objectif : privilégier une chaîne d’approvisionnement favorisant le plastique recyclé plutôt que le plastique vierge.
Julien GROS, co-fondateur d’EMUAGE : “Au-delà de la « clean beauty », nous souhaitons être des acteurs de la « Blue Beauty » qui consiste non seulement à avoir une démarche éco-responsable dans le choix des ingrédients, mais également à réparer les dommages écologiques du passé, notamment avec nos capsules à base de plastique recyclé des océans qui contribuent au nettoyage de la pollution des fonds marins.”

🔵EMUAGE invite également ses clients à ramener les capsules à la boutique d’Aix-en-Provence ou
de les renvoyer directement au siège à la Seyne-sur-Mer. Son ambition : une meilleure gestion des déchets
pour éviter une fuite de plastique dans la Nature.
🔵Grâce à ses packagings réutilisables et recyclables puis à ses capsules recyclables, cette entreprise française souhaite
stimuler ses clients à rentrer dans un schéma de consommation qui encouragent à ne plus
privilégier les produits en plastique à usage unique.  Par ailleurs, chez EMUAGE, on retrouve 2/3 de plastique en moins (comparé à la cosmétique classique).
Grégoire TUTENUIT : “Le flacon qui accueille les soins est breveté.  Au-delà de son système d’agitation,
une hélice intégrée à l’intérieur du flacon permettant d’émulsionner le soin lors de
sa préparation, il est également 
une révolution vertueuse et responsable car son packaging est composé de matériaux durables 
permettant de supporter jusqu’à 10 lavages au lave vaisselle“. 
Une goutte d’eau dans l’océan mais avec avec le désir d’éveiller la conscience collective du plus grand nombre et de
susciter l’engouement de consommer de manière plus raisonnée pour un plus grand impact. 
Grégoire TUTENUIT : “Pour finir, de manière générale, nous mettons un point d’honneur à être un acteur
d’une économie plus circulaire pour préserver les ressources de
notre planète en produisant une machine durable et réparable directement dans nos locaux
à la Seyne-sur-Mer.  Car comme on le sait, réparer un objet nécessite moins d’énergie que produire du neuf
et réparer au lieu de jeter c’est évidemment produire beaucoup moins de déchets.”

Grégoire TUTENUIT & Julien GROS, co-fondateurs d'EMUAGE

Grégoire TUTENUIT & Julien GROS, co-fondateurs d’EMUAGE
© Photo CHOISEUL SUD 

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