Que ce soit pour défendre un modèle de production respectueux de l’environnement, pour soutenir des professionnels engagés dans une démarche durable, ou encore pour se faire plaisir avec une viande de qualité saine, les Français se disent en majorité prêts à défendre l’engagement de toute une filière en faisant le choix des viandes bio.
 
Si 71% des Français affirment être aujourd’hui plus attentifs au prix, ils sont en effet 62% à déclarer vouloir acheter des viandes bio au moins ponctuellement. Une tendance significative qui s’explique par l’adéquation entre le mode de production durable des viandes bio et les attentes des consommateurs, que ce soit en termes de protection de l’environnement, de défense d’une agriculture de proximité et durable ou encore de bien-manger.
 

  • Alors qu’ils sont 90% à considérer la préservation de l’environnement et de la biodiversité comme essentielle, les consommateurs sont bien conscients de l’engagement des éleveurs bio à produire une viande dans le respect des équilibres et des cycles naturels. C’est pourquoi, dans un contexte où 96% des Français affirment consommer de la viande, ils sont 66% à penser que le bio est la solution pour continuer à manger de la viande dans le respect de l’environnement.
  • Alors que la défense de l’agriculture et du monde de l’élevage en particulier est une cause essentielle pour 91% des Français, le choix des viandes bio est considéré par 64% des français comme moyen de soutenir des éleveurs engagés. Les viandes bio, sont perçues des Français comme des viandes de qualité à 76%… en quête d’une alimentation saine et équilibrée.

Cette étude a été réalisée par OpinionWay auprès d’un échantillon de 1007 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Cet échantillon a été constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socio-professionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview) les 12 et 13 avril 2023. Pour un échantillon de 1000 personnes, la marge d’incertitude est de 1,5 à 3 points au plus.

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