Le changement climatique menace tous les territoires et soumet l’agriculture à de fortes pressions : sols dégradés, sécheresses, épisodes de grêle… autant de phénomènes qui mettent en péril la capacité des agriculteurs à nourrir les sociétés, et qui remettent en cause nos modes de production.

 

Depuis quelques mois, on parle de plus en plus d’agrivoltaïsme. Le modèle Akuo se distingue par sa philosophie, qui met la technologie au service de l’agriculteur. Que ce soient des ombrières photovoltaïques, des trackers, ou encore des serres photovoltaïques, Akuo veille à ce que la technologie utilisée réunisse des conditions d’ensoleillement optimisés, tout en protégeant les rendements des aléas climatiques.

 

La question de l’eau est également centrale. Elle occupe une place primordiale en particulier dans l’agriculture. Pensées pour économiser cette ressource, certaines structures photovoltaïques récupèrent l’eau de pluie, la dirige vers une infrastructure de stockage, avant de la redistribuer aux cultures de manière optimisée via des systèmes de goutte-à-goutte ou de micro-aspersion, en fonction des cultures.

 

Enfin, Akuo va encore plus loin. Avec son partenaire agricole, Agriterra, Akuo a installé à l’abbaye de Gaussan dans l’Aude un conservatoire de semences anciennes, principalement de céréales, mais également de variétés maraîchères et arboricoles. Ces semences sont sélectionnées sur des critères de nutrition-santé (haute qualité nutritive) et de résilience face aux aléas climatiques. Le conservatoire, véritable station agronomique d’expérimentation, permet d’explorer à partir de ces semences anciennes leur résistance au changement climatique, pour à terme être proposées aux agriculteurs qui le souhaitent.

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